Le vote aléatoire pour ne plus avoir ces "élus" à vie !
(en cours de rédaction/ modifié le 21 décemmbre 2015)
La crise financière n'en est pas une: c'est en réalité une crise de perte de confiance en notre avenir commun. Il n'y a plus de représentant de l'intérêt commun, tous nos élus sont porteurs d'intérêts partisans ou particuliers.
L'économie du bien commun n'a plus le vent en poupe, hélas, Siné hebdo a disparu depuis plus de deux ans mais relisons le n° spécial Jacques Rancière:
il rappelle que la démos kratos originelle à Athènes ne procédait pas par vote majoritaire, mais le peuple désignait par tirage au sort celui (ou celle ??) qui devait le représenter.
Et le problème aujourd'hui, c'est qu'on donne le pouvoir à des gens qui se sont préparés à l'exercer et qui le désirent intensément... pour ne plus le lâcher et ne plus le redonner au peuple...
Notre président actuel a lu toutes les biographies de Napoléon, de De Gaulle, des empereurs allemands, autrichiens, chinois, etc... car il voulait apprendre à prendre le pouvoir... et cela a marché, avec des mots, des alliances, etc... comment le peuple peut-il reprendre le pouvoir face à des choix électoraux où tous les candidats veulent le pouvoir ?
Et regardez le nouveau mode de scrutin pour les élections territoriales: c'est le parti qui sera arrivé en tête (avec, par exemple, péniblement 25% des électeurs au maximum) qui aura le pouvoir ! Les citoyens sont obligés de voter "utiles", donc de ne plus exprimer leur sensibilité pourtant si diverse..
L'intérêt général nous commande de réinventer un système où nos élus seront des personnes aléatoires qui ne veulent pas le pouvoir mais qui, au contraire, sont chargés d'un devoir de nous diriger, sans l'avoir voulu !
Allez, qui d'entre NOUS peut nourrir cette belle idée ?
Et toi, Christian Paul, agitateur d'idées pour une Terra Nova ?
A vos commentaires !
NOUS publierons tous vos commentaires sous la forme d'articles
La crise financière n'en est pas une: c'est en réalité une crise de perte de confiance en notre avenir commun. Il n'y a plus de représentant de l'intérêt commun, tous nos élus sont porteurs d'intérêts partisans ou particuliers.
L'économie du bien commun n'a plus le vent en poupe, hélas, Siné hebdo a disparu depuis plus de deux ans mais relisons le n° spécial Jacques Rancière:
il rappelle que la démos kratos originelle à Athènes ne procédait pas par vote majoritaire, mais le peuple désignait par tirage au sort celui (ou celle ??) qui devait le représenter.
Et le problème aujourd'hui, c'est qu'on donne le pouvoir à des gens qui se sont préparés à l'exercer et qui le désirent intensément... pour ne plus le lâcher et ne plus le redonner au peuple...
Notre président actuel a lu toutes les biographies de Napoléon, de De Gaulle, des empereurs allemands, autrichiens, chinois, etc... car il voulait apprendre à prendre le pouvoir... et cela a marché, avec des mots, des alliances, etc... comment le peuple peut-il reprendre le pouvoir face à des choix électoraux où tous les candidats veulent le pouvoir ?
Et regardez le nouveau mode de scrutin pour les élections territoriales: c'est le parti qui sera arrivé en tête (avec, par exemple, péniblement 25% des électeurs au maximum) qui aura le pouvoir ! Les citoyens sont obligés de voter "utiles", donc de ne plus exprimer leur sensibilité pourtant si diverse..
L'intérêt général nous commande de réinventer un système où nos élus seront des personnes aléatoires qui ne veulent pas le pouvoir mais qui, au contraire, sont chargés d'un devoir de nous diriger, sans l'avoir voulu !
Allez, qui d'entre NOUS peut nourrir cette belle idée ?
Et toi, Christian Paul, agitateur d'idées pour une Terra Nova ?
A vos commentaires !
NOUS publierons tous vos commentaires sous la forme d'articles
